Winterlüt adhère à
Les bals sauvages ont pour vocation d’être des évènements autogérés et accueillants. Les comportements sexistes, racistes, homophobes, transphobes, grossophobes, validistes et oppressifs de toutes sortes n’y sont pas tolérés.
◆ Le consentement, c’est la base ! On doit pouvoir s’assurer que ses partenaires sont d’ac cord avec ce que l’on propose. L’absence de refus n’est pas forcément un consentement !
◆ Être à l’écoute de ses partenaires : danser rapidement, être proche, faire beaucoup tourner, etc. peut ne pas être apprécié par tout le monde.
◆ Votre partenaire semble gêné.e ? Pourquoi ne pas lui en parler ?
◆ Tout le monde a le droit de dire non à tout moment, même au milieu d’une danse !
◆ Tout le monde peut danser avec tout le monde. Les rôles traditionnels de guide/guidés ne sont pas obligatoirement assignés à des genres définis.
◆ Quand on explique les danses en public, on essaie d’utiliser un vocabulaire dégenré pour n’exclure personne. Par exemple, au lieu de fille/garçon, on peut dire guide/guidé, leader/follower, de ersht / de zweit , carotte/radis… bref, soyez créatif !
◆ Quand il manque quelqu’un pour une danse où il faut un nombre pair, on peut simplement signaler qu’il manque une personne, sans préciser une fille ou un garçon.
◆ Quelque soit votre vice (chocolat, pastis, ou canabis), restez maître de vous-même !
◆ Enfin, le bal ne s’arrête pas aux danses, n’hésitez pas à appliquer la charte dans vos relations privées !
Besoin de parler d’un problème rencontré en bal ?
Demandez Germaine au bar, elle vous écoutera d’une oreille attentive.
Bon Bal